Jacques Mailhot : Dans ce théâtre désobéissant, les ânes et les ânesses ont rigoureusement les mêmes droits. Dans «Élysez-Nous», on a deux bretteuses de talent, ma vieille copine Florence Brunold, qui, je vous donne un scoop, s’amuse avec le morphing. Elle peut changer les politiques en buffle ou en varan de Komodo sans crier gare. C’est irrésistible. Quant à Émilie-Anne Charlotte, notre benjamine, elle fait rire en chansons comme les authentiques chansonniers de Montmartre et avec un petit plus, qui fait toute la différence, une formidable voix.
Merci Patron !